“O Brasil acordou”
Porque toda violência do povo é resistência. Porque a “rebelião se justifica”.
Les ministres et les médias, étonnés, disent ne pas comprendre le sens de cette révolte. Isolé dans leurs paradis artificiels ils ont peur d’affronter le pays. Il y a au moins dix ans, que j’espère que ce genre de choses se produisent. Le jour est venu, “Chaque nuit – il y a des aurores, et des rayons de lumières – dans les ténèbres.” «Le Brésil s’est réveillé», cette phrase peut être lu sur les pancartes de nombreuses manifestations. Se réveiller pour rêver. Cette soirée historique, les chanceux étaient ceux qui ne pouvaient pas dormir. L’insomnie de ceux qui attaquent est beaucoup plus agréable que celles des défenseurs de la vielle forteresse…
“Meu nome é tumulto, e escreve-se na pedra.”
Voici le texte original : Vigência da violência revolucionária
Ce texte écrit par R.Mineiro est tiré du journal A Nova Democracia, et il est exprime bien le sentiment de beaucoup de Brésiliens!
La validité de la violence révolutionnaire
Nous assistons dans les rues au plus grand héritage de la Coupe des Confédérations.
Thanks Fifa.
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et aussi parce que la Violence que s’ arroge l’ Etat est insupportable, si le peuple n ‘était pas EXPLOITé mais recevait la juste part de son labeur, il n’ y aurait pas de violence révolutionnaire, mais il faudra combien de temps encore pour que les polytocards en prennent conscience?
Axé e coragem… Sam T
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« Il y a un moment où il faut sortir les couteaux. C’est juste un fait. Purement technique. Il est hors de question que l’oppresseur aille comprendre de lui-même qu’il opprime, puisque ça ne le fait pas souffrir : mettez vous à sa place. Ce n’est pas son chemin. Le lui expliquer est sans utilité. L’oppresseur n’entend pas ce que dit son opprimé comme langage mais comme un bruit. C’est la définition de l’oppression [….] L’oppresseur qui fait le louable effort d’écouter (libéral intellectuel) n’entend pas mieux. Car même lorsque les mots sont communs, les connotations sont radicalement différentes. C’est ainsi que de nombreux mots ont pour l’oppresseur une connotation-jouissance, et pour l’opprimé une connotation-souffrance. »
Christiane Rochefort
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